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Il est impossible de concevoir le futur ?

Le top 5 des objets connectés insolites, publication WIDOOBIZ, textes et photos.

http://www.widoobiz.com/a-la-une/le-top-5-des-objets-connectes-insolites/61312?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter+quotidienne

L’imagination des Hommes n’a décidément pas de limite. En voici encore la preuve avec ces objets connectés, plus insolites les uns que les autres, des exemples pris parmi des milliers de nouveautés:

  • Le support visuel pour suivre une réunion
  • La Boite à cookies qui s’ouvre en fonction des objectifs accomplis
  • Les toilettes connectées (les toilettes du futur pourront même dire si vous êtes enceinte)
  • La banane qui affiche votre rythme cardiaque
  • La fontaine qui vous permet de jouer à Snake

Projet de l’Université du Bonheur au Travail

http://us2.campaign-archive2.com/?u=d2688f170adb201fdd93f5bf4&id=850c460a28 Projet d’Université du Bonheur au Travail, 29, 30 et 31 Octobre 2015, locaux de l’Inseec (Paris)

Nombreuses sont les organisations, privées ou publiques, qui l’ont compris, et cherchent à favoriser le bonheur au travail comme un bien en soi pour les individus qui les composent. Certaines se sont emparées de cet objectif pour transformer leurs pratiques ; d’autres hésitent à s’engager dans cette voie de performance à long terme ou manquent de solutions adaptées à leur organisation ou au contexte économique.

Pourtant des solutions existent, et c’est ce que nous proposons de découvrir lors de cette formation expérientielle : 3 jours pendant lesquels toute personne curieuse ou désireuse de trouver des solutions pour transformer son quotidien professionnel ou celui de ses collaborateurs, pourra venir vivre des pratiques et outils en faveur du bonheur au travail, s’enrichir et partager avec des praticiens et des pairs, entrer dans un mouvement et devenir eux-mêmes acteurs du Bonheur au travail.

Bill Gates et les choses que l’école n’apprend pas

Bill Gates a récemment prononcé un discours dans une école secondaire à propos de 10 choses que l’école n’apprend pas mais qu’il faut néanmoins apprendre le plus rapidement possible ! Vous pouvez ne pas l’aimer. Mais sachez que, lui, a certainement appliqué les règles qu’il préconise !.. Il parle de bons sentiments et d’enseignements politiquement corrects qui ont créé des générations de jeunes totalement dépourvus du moindre sens des réalités de la vie. Tout en expliquant comment ce “concept” les prédispose à l’échec dans le monde réel, il donne ici dix règles à suivre. A faire lire à certains ados “révoltés”. Et à d’autres…

Règle 1 : La vie est injuste : habituez vous!

Règle 2 : Le monde se fout de votre amour-propre.Le monde s’attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.

Règle 3 : Vous ne gagnerez pas $60,000 par an en sortant de l’école. Vous ne serez pas vice-président en commençant, avec GSM et voiture de fonction fournis, avant d’avoir mérité, gagné ces privilèges.

Règle 4 : Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d’avoir un patron.

Règle 5 : Travailler dans une friterie n’est pas s’abaisser. Vos grands-parents avaient un mot différent pour ça : ils l’appelaient une opportunité.

Règle 6 : Si vous gaffez, CE N’EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.

Règle 7 : Avant que vous naissiez, vos parents n’étaient pas aussi ennuyants qu’ils le sont maintenant !Ils sont devenus comme ça :

  • En payant vos factures,
  • En nettoyant vos vêtements
  • Et en vous entendant répéter sans arrêt combien vous êtes bons et cools.

Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans votre propre chambre et tout ce qui s’y trouve

Règle 8 : Votre école s’est peut-être débarrassé du système « gagnant-perdant », PAS LA VIE ! Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse. Ceci n’existe pas dans la vraie vie !

Règle 9 : La vie n’est pas divisée en semestres. L’été n’est pas une période de congé. Et très peu d’employeurs sont disposés à vous aider à VOUS ASSUMER, c’est votre responsabilité.

Règle 10 : La télévision n’est pas la «vraie vie». Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.

Si vous êtes d’accord, faites circuler, sinon, mettez-vous la tête dans le sable et prenez une grande respiration.”Bill Gates

Sociocratie comme vecteur d’intelligence collective

RESUME :

Gouverner Ensemble, exemple : Expérimenter la prise de décision, méthodologie:

  • Rappel Bienveillance
  • Présentation de la proposition
  • Clarification
  • Réactions
    • Ce que vous aimez
    • Ce que vous n’aimez pas
    • Ce vous souhaiteriez ajouter ou transformer
  • => Amendements (on transforme la proposition)
  • Objections
  • => Amendements (on transforme la proposition)
  • Consentement = 0 objections

Concepts clés:

  • Cadre qui permet a chacun de s’exprimer (on ne parle pas sur la parole de l’autre)
  • On prend le temps d’intégrer les réactions des autres
  • On construit ensemble quelque chose qui s’enrichit
  • Rôle important du facilitateur qui s’interdit de prendre le pouvoir
  • Il y a un porteur de proposition ce qui permet de démarrer par quelque chose de concret

Pierre Tavernier, http://www.atconseil.com consultant et formateur, président du Centre Français de SociocratieUn mode de gouvernance authentiquement participatif, éthique et performant, article:

Un peu d’histoire :

oLe mot « sociocratie » a été inventé par Auguste Comte, philosophe français du début du XIXème  siècle que l’on considère comme le père de la sociologie. Ce terme signifie littéralement le gouvernement des associés, c’est-à-dire d’un ensemble de personnes qui partagent une vision, une mission, des règles de fonctionnement et des objectifs qu’ils souhaitent réaliser ensemble.

oKees Boeke (1884 – 1966), psychosociologue et pédagogue Hollandais reprit le terme« sociocratie » pour décrire un mode d’organisation avec 3 règles qu’il expérimenta au sein de la Werkplaats Community School en Hollande:

  • les intérêts de tous les membres sont pris en considération, chacun acceptant de se soumettre aux intérêts de la communauté.
  • une solution n’est adoptée que si elle est acceptée par ceux qui vont la mettre en œuvre.
  • tous les membres sont prêts à agir conformément aux décisions prises unanimement.

Gerard Endenburg fut l’un des élèves de cette école. Devenu ingénieur en électromécanique, il hérita de la direction de l’entreprise familiale au début des années 70 et il voulut y recréer la même qualité de participation qu’il avait expérimentée au sein de la Werkplaats Community School. Mais dans une entreprise, les règles formulées par Kees Boeke n’étaient pas utilisables en l’état. Gerard Endenburg devait prendre en compte les intérêts de toutes les parties prenantes, investisseurs compris, et garantir l’atteinte des objectifs de l’entreprise sans dépendre de la seule bonne volonté des employés pour prendre des décisions unanimes.Il s’inspira du fonctionnement des organismes vivants ou des systèmes cybernétiques et conclut que pour rendre son entreprise capable de s’auto-organiser et permettre à tous les membres d’y prendre toute leur part, il lui fallait organiser l’équivalence entre eux.

L’équivalence, c’est l’affirmation que tous sont sujets et non pas objets du projet commun et que la contribution de chacun est nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise collective. L’équivalence, c’est le droit reconnu à chacun de consentir ou non à une décision qui modifie de façon significative et durable les orientations, les modalités de son travail ou du travail de son équipe, voire de toute l’entreprise.

Endenburg devait également prendre en compte que dans un système dynamique, ou un organisme vivant, 3 fonctions coopèrent dans l’équivalence : une fonction d’orientation qui fixe un objectif, une fonction d’exécution qui vise à réaliser l’objectif, une fonction de mesure qui évalue l’écart entre l’objectif et sa réalisation.

Actualité de la sociocratie :

  • La sociocratie, que les Américains préfèrent appeler « Gouvernance dynamique », est pratiquée aux Pays-Bas depuis plus de 40 dans des organisations variées : entreprises industrielles ou commerciales, associations, écoles, administrations. Des évaluations formelles ont démontré que ces organisations connaissent un fort accroissement au niveau de l’innovation et de la productivité, une réduction du nombre de réunions, une réduction du taux d’absentéisme pour maladie et une implication accrue de tous les membres.
  • En France, la sociocratie est encore largement méconnue, mais elle fait son chemin et c’est le monde associatif qui s’en est emparé le premier. Des associations, grandes et petites, des groupes d’habitats groupés, revendiquent un fonctionnement sociocratique et utilisent la méthode avec profit. Des collectivités et de petites entreprises s’y intéressent également.

En pratique :

  • Pour installer l’équivalence des personnes et des 3 fonctions dans son entreprise, Gerard Endenburg a jugé que la structure pyramidale classique était adéquate pour « exécuter », mais inadéquate pour « orienter ». Pour prendre les décisions d’orientation – qui concernent les objectifs, les processus de travail, les règles de fonctionnement – il fallait une structure spécifique pour que ces décisions puissent être prises, à leur niveau, par ceux qu’elles concernent. Il a progressivement formulé et expérimenté 4 règles : le cercle, le consentement, le double lien et l’élection sociocratique.

Les 4 règles de base de la sociocratie :

  1. Le cercle :

La structure de prise de décision est constituée de cercles semi-autonomes inter-reliés. Chaque cercle est formé par un groupe de personnes qui partagent une mission commune. Par exemple un conseil d’administration, une équipe de direction, un service…. Chaque cercle poursuit un but clairement identifié, articulé avec le but des cercles auxquels il est relié, et il organise son fonctionnement comme sous-système de l’organisation. Il est responsable de l’ingénierie de ses processus de travail, qu’il doit définir en termes d’objectifs, d’activités et de mesure des résultats Un cercle établit ses propres politiques sur la base du consentement de ses membres. Il élabore son propre système d’information et d’éducation permanente par la recherche expérimentale, l’enseignement formel et l’apprentissage sur le tas.

  1. Le consentement

Le mode de prise de décisions d’une organisation sociocratique est le consentement. Le consentement signifie : il n’existe plus d’objection motivée. Dans un cercle sociocratique, aucune décision d’orientation ne sera prise si un des membres y oppose une objection raisonnable et argumentée. Cette règle favorise l’impossibilité pour quiconque dans le cercle de devoir abandonner sa liberté et sa responsabilité entre les mains d’un autre. Elle permet aussi, dans le dialogue et la confrontation si besoin, d’apprendre à relativiser ses préférences et à découvrir la puissance de l’intelligence collective. Elle invite enfin à redéfinir ce qu’estune bonne décision : une décision est bonne si elle permet d’avancer dans la réalisation des objectifs communs et si elle reçoit le consentement de ceux qui vont avoir à « vivre avec ».

  1. Le double lien

Un cercle est relié au cercle qui lui est immédiatement supérieur par un double lien. Cela signifie qu’au moins deux personnes, le responsable de l’unité de travail et un membre de son équipe choisi par l’équipe, sont membres du cercle immédiatement supérieur.

  1. L’élection sociocratique

Le choix et l’affectation des personnes dans une fonction ou la délégation d’une tâche se fait dans le cercle concerné. Après avoir défini ensemble les qualités requises pour le poste, chaque membre du cercle désigne qui lui paraît à même de remplir la mission et argumente son choix. Après une discussion ouverte dans le cercle, la décision est prise par tous sur la base du consentement.

Exemple :

  • Dans une association fonctionnant sur le mode sociocratique de gouvernance qui a un conseil d’administration composé d’administrateurs élus, une équipe de salariés dépendant tous directement d’une directrice, le cercle supérieur de l’association est composé des membres du Conseil d’administration, de la directrice, et d’un autre membre de l’équipe salarié choisie selon le processus de l’élection sans candidat par l’équipe salariée (directrice comprise) réunie en cercle.
  • Le cercle supérieur est garant de l’existence d’un projet associatif actualisé. Dans ce dernier, les décisions sont prises par consentement. Tous les membres, administrateurs élus, directrice, double-lien salarié ont le même pouvoir de décision par consentement dans les réunions du cercle. Le conseil d’administration n’intervient pas dans le fonctionnement du cercle des salariés, chargé de la mise en œuvre du projet associatif, sauf si ce cercle se trouve confronté à un problème qu’il ne parvient pas à résoudre. Il en appelle alors au cercle supérieur.

En conclusion :

La sociocratie m’a apporté des outils simples et performants pour aider les organisations que j’accompagne comme consultant à articuler harmonieusement un bien commun clairement explicité avec les besoins de chacun de leurs membres et à favoriser le déploiement de l’intelligence collective. C’est un mode de gouvernance authentiquement participatif qui valorise la contribution et la responsabilité de chacun, renforce l’esprit d’équipe et favorise l’émergence d’un leadership partagé. C’est une proposition unique pour organiser et réguler, au grand jour, toutes les relations de pouvoir de façon à maximiser « le pouvoir de » chacun sans que personne ne puisse accaparer « un pouvoir sur » les autres. La sociocratie, c’est le pouvoir du nous.

Collective Awareness Platforms for Sustainability and Social Innovation

http://ec.europa.eu/digital-agenda/en/collectiveawareness (Digital Agenda For Europe)

Collective Awareness Platforms, or how to use networks to connect citizens and ideas for social innovation, leveraging on collective intelligence and action to address sustainability challenges.

The Collective Awareness Platforms for Sustainability and Social Innovation (CAPS) are ICT systems leveraging the emerging “network effect” by combining:

  • open online social media,
  • distributed knowledge creation, and
  • data from real environments (“Internet of Things”).

The objective is to create awareness of problems and possible solutions requesting collective efforts, enabling new forms of social innovation. The Collective Awareness Platforms are expected to support environmentally aware, grassroots processes and practices to share knowledge, to achieve changes in lifestyle, production and consumption patterns, and to set up more participatory democratic processes. Although there is consensus about the global span of the sustainability problems that are affecting our current society, including the economic models and the environment, there is little awareness of the role that each and every one of us can play to ease such problems.

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Aux DRH qui font du changement une condition de survie !

Les dérives du système scolaire ont-elles crées celles de l’entreprise ? Le lien est fort et il est donc normal de retrouver les mêmes débats, les mêmes tensions, les mêmes violences mais aussi les mêmes rêves. L’article suivant en constitue une bonne synthèse.

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http://www.jobsferic.fr/Aux-DRH-qui-font-du-changement-une-condition-de-survie-.html Prendre le chemin du DRH 3.0. Par Pascal Nicaud, texte en français, publié le 29 décembre 2015. Extrait:

Voici la définition que je me suis improvisé à donner du DRH 3.0 : « Notre « DRH 3.0 » n’en est plus à se demander comment fidéliser le collaborateur. Il comprend que individu et collaborateur ne font qu’un. Il ressent que l’entreprise ne peut que s’entendre en mode étendu. Il perçoit que sa double mission, bien que restant toujours au service de l’entreprise, est d’adresser distinctement les besoins collectifs et les nécessités individuelles de chacun. Il intègre que la relation avec un « salarié-partenaire » n’est plus seulement de l’ordre de la subordination mais plutôt dans une sphère de coopération. Il adapte sa gamme de services et rend sa propre organisation capable de se déformer au gré des transformations. Il priorise ses objectifs, en se détachant de son habitus éternel. Il intègre l’intelligence globale, en élargissant sa posture, ne concentrant plus son attention sur sa propre capacité de production. Il est agent d’innovation, il est catalyseur d’interfaces. En résumé, il est convaincu que la meilleure façon d’attirer et de fidéliser, c’est de créer l’envie et l’engagement ! »

Ouvrage “DRH 3.0 – Face aux défis du numérique”

Le talent collaboratif : Disposition naturelle ou compétence cognitive et émotionnelle ? 

https://www.weezevent.com/atelier-le-talent-collaboratif exemple d’atelier sur le développement des talent collaboratifs des équipes, extraits de la présentation:

Les outils collaboratifs se déploient dans les organisations. Les conditions culturelles et économiques peuvent faciliter ou freiner leur montée en puissance, mais le facteur déterminant reste le talent collaboratif des acteurs. Comment mettre en interaction les intelligences afin qu’émerge l’innovation collaborative dans les organisations ?

A partir de son travail de vulgarisation des neurosciences et de son expérience d’accompagnement de la montée en compétence collective dans les organisations, Bernadette LECERF-THOMAS proposera un modèle d’analyse et d’action visant à développer les talents coopératifs des managers. Ce modèle opérationnel fonctionne en lien étroit avec les enjeux cognitifs (savoir accéder aux connaissances) et émotionnels (savoir accéder aux émotions) logés au cœur de notre cerveau. Un atelier pratique suivra la présentation de ce modèle afin de définir collectivement les compétences du travail collaboratif.

Bernadette LECERF-THOMAS, superviseur et transmetteur de savoir, se consacre aujourd’hui à accompagner les coachs, les formateurs et les acteurs de la transformation des entreprises pour l’appropriation concrète et opérationnelle des neurosciences (conférence, coaching, formation, supervision). Elle est l’auteure de : Activer les talents avec les neurosciences. Pearson 2015, et de Neurosciences et management, le pouvoir de changer. Editions d’Organisation 2014.

Activer les talents avec les neurosciences

http://www.equilibrio.fr/activer-les-talents-avec-les-neurosciences.html

Les neurosciences offrent de nouveaux éclairages sur les particularités et la richesse de l’intelligence humaine. Elles rendent plus accessible une compréhension concrète de l’apprentissage et du développement cognitif des personnes. L’importance des émotions est maintenant reconnue. Il est possible de mieux valoriser le développement de l’intelligence individuelle et collective. Extrait du programme:

La première journée permet d’intégrer des notions sur les mécanismes cérébraux impliqués dans la concentration et l’effort d’apprentissage :

  • Qu’est-ce qui rend chaque personne différente et potentiellement talentueuse ?
  • Comment émerge la spécificité de chacun à partir de la vitalité qui l’anime ?
  • Pourquoi, quand une personne se concentre pour réfléchir, pour prendre la décision d’agir, la complexité du fonctionnement du cerveau révèle une intention particulière?

La deuxième journée est consacrée à ce qui est en jeu quand un sujet apprend à apprendre :

  • Comment acquérir une orientation « développement » ?
  • Quels sont les mécanismes qui nous permettent d’apprendre à apprendre?
  • Pour le développement de ses talents et de son agilité mentale, chacun dispose de différents leviers. En comprendre les atouts et les contraintes est une façon de mieux savoir les activer.

La troisième est consacrée à un tour d’horizon des sollicitations émotionnelles et cognitives de l’individu en situation collaborative :

  • Comment articuler les talents au sein d’un collectif afin qu’émerge une nouvelle compétence globale.
  • Coopérer avec les autres exige la prise en compte d’un autre niveau de complexité. Afin de produire plus que la somme des compétences individuelles de ses acteurs, un groupe, une équipe est soumise à des réalités neurobiologiques qui méritent d’être connues.
  • C’est l’objectif de cette troisième journée, donner les clés d’un travail collaboratif producteur d’innovation fondé sur une meilleure compréhension des atouts et des contraintes liés aux fonctionnements cognitifs et émotionnels.

Screen Shot 2016-04-09 at 9.50.20 AM