- L’impensable management VALVES
- Intermède : la paresse intellectuelle et opérationnelle des managers en sciences sociales
- Responsabilité et liberté chez ELITE SEM, named the Best Agency of 2013
- Ricardo SEMLER : Democratic Work place and School
- Schizophrénie : symptôme d’une mutation de société
- Intermède : Le bon chef ne fait pas son chef, François Bégaudeau
- 100 leçons de vie à travers le prisme de l’efficacité (TED)
- The eight archetypes of leadership
- Intermède : Apprendre et faire par passion, a must
- L’Entreprise Libérée
- Organizational climate survey (OCS)
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- Intermède : prémices sur des parcours en « intelligence coopérative »
- Employees satisfaction : The first problem is always “human”
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- ONEVEST, Building teams for startups
- Adult education by Malcolm Knowles
- Les entreprises du bonheur se sont affranchies des gens payés pour contrôler les autres
- Les 7 plus grands échecs de Richard Branson
- At POC21 We Will Build The Most Functional And Replicable Cell Of A Truly Sustainable Society
- The Unit : How the “just do it” generation leads to unlimited intelligence
- Intermède : Sagesse Aborigène
- Garance, Une Lettre de Motivation à coeur ouvert !
- L’entrepreneuriat en mode Collectif
- Il est impossible de concevoir le futur ?
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- Bill Gates et les choses que l’école n’apprend pas
- Sociocratie comme vecteur d’intelligence collective
- Collective Awareness Platforms for Sustainability and Social Innovation
- Example of On-Line Training Ad
- Learning solutions
- Aux DRH qui font du changement une condition de survie !
- Le talent collaboratif : Disposition naturelle ou compétence cognitive et émotionnelle ?
- Activer les talents avec les neurosciences
- Isaac Getz : Libérer l’entreprise
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- Le bonheur au travail
- FAVI – L’entreprise libérée par la confiance, Jean-Francois Zobrist
- Digitalisation et Formation : l’équation disruptive ?
- Université de la Terre
- La Cité de la Réussite
- Daniel Goleman: It’s Not IQ
Category Archives: L’entreprise en ébullition
L’impensable management VALVES
Valve: How going boss-free empowered the games–maker http://www.bbc.co.uk/news/technology-24205497 23 septembre 2013
Valve: Handbook for new employees http://newcdn.flamehaus.com/Valve_Handbook_LowRes.pdf 23 septembre 2013
VALVES est un éditeur de jeux en ligne né en 1996 sur un modèle original d’organisation sans manager. Chaque salarié est invité à prendre ses responsabilités sur l’organisation de son travail et même son contenu. Evidemment l’intelligence collective est de mise sous toutes les formes possibles. Valves est très vigilant sur son recrutement et l’adéquation de ses poulains aux valeurs de l’entreprise. Les primes salariales sont attribuées suite à un classement réalisé par les salariés. L’entreprise est très profitable et compte près de 300 salariés en 2013. Le système permet d’éviter les pertes de temps liés aux jeux politiques, la création d’inutiles baronnies symboles de pouvoir, etc.
Intermède : la paresse intellectuelle et opérationnelle des managers en sciences sociales
http://vimeo.com/117906474 Interview de François Dupuy – Lost in management Volume 2 : La faillite de la pensée managériale, français, vidéo de 10mn, Librairie Mollat, janvier 2015
- 3:00 problème de la paresse intellectuelle de nos managers sur la connaissance en sciences sociales, sur le fonctionnement des organisations, mais aussi paresse sur leur engagement dans la mise en oeuvre de leurs propres décisions …
- 7:00 sur la nocivité des business schools et des cabinet de conseil.
- 8:45 incitation forte pour les cabinets de conseil à former ses jeunes en sciences sociales, car le vrai modèle est là.
Responsabilité et liberté chez ELITE SEM, named the Best Agency of 2013
Ben Kirshner is the CEO of Elite SEM, an award-winning digital marketing agency. Elite has also won numerous awards around best places to work. http://www.forbes.com/sites/theyec/2013/11/14/four-ingredients-for-a-winning-company-culture/
Empower your employees to manage their schedules
- I strive to make my employees happier than they would be at other companies or agencies in many ways. But the first thing any employee of Elite would probably tell you about is that our company allows unlimited vacation time, personal days and sick days. Want to take a two-week trip to India or Tokyo? Or want to take a Friday off to head to Gainesville to see the Gators play on Saturday?
- No problem — as long as all of the work you are responsible for is completed or accounted for, and someone else on your team will be able to cover and is up-to-date on your clients and projects, take as much time off as you want! This policy has been in place since day one, and remains one of the benefits hires get most excited about.
- Whatever specific policy your company goes with, the bottom line is that you need to empower your employees to own their results, actually increasing productivity and improving morale.
Ricardo SEMLER : Democratic Work place and School
https://www.youtube.com/watch?v=UxeosFrLFH8&feature=youtu.be english, substitles, 20:05 school between 8:00 and 9:40 , Ricardo Semler – ABC “Interview with Semco’s business guru”
5000 staff company, democratic work place in the modern world, yes it is possible, 25 years of success based on: less management power, power and intelligence within the organization, anonymous evaluation each 6 months, interviews of future bosses by subordinates! by all of them, a stability in the system created by democratic processes, salaries auto-regulated, etc.
Need to buy talent instead of time, it created the concept of a 1 day off a week at 10% cost only, because without idle time you can’t rethink anything…
Contamination to school system IS POSSIBLE. We learn when we are passionate and with someone passionate on the other side => kids show up only when they want to, courses are setting up a bicycle from scratch instead of geometry and physics, chemistry in the kitchen, etc. Happiness is key and one of the question is how to avoid our kids to buy a big red sport cars at 45 years old …
It needs a leap of faith that loss of control is OK for the concept to grow worldwide,
Schizophrénie : symptôme d’une mutation de société
http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/societe/autres/221188433/schizophrenie-symptome-dune-mutation-societe
Christine Marsan / Psycho-sociologue | Le 12/01 à 08:57, LesEchos.fr
Notre société interconnectée a notamment accru de manière exponentielle les informations et connaissances, ce qui rend désormais impossible à qui que ce soit d’appréhender la totalité des informations sur un domaine aussi limité soit-il. La vitesse de diffusion des informations accélère les échanges et crée une pression psychologique très importante pour les personnes, notamment en activité, qui ne parviennent plus à traiter toutes les données reçues, ceci accroissant alors le stress au quotidien.
Par ailleurs, notre société vit un moment majeur dans notre histoire. Nous sommes contemporains de ce que l’on appelle un changement de paradigme, que nous considérons comme aussi radical que la Renaissance. Internet est une rupture technologique équivalente à ce que fut l’imprimerie au XVe siècle, révolutionnant l’accès à la connaissance, au savoir, à l’alphabétisation et par conséquent à la conscience. Nous notons aujourd’hui des effets tout à fait équivalents.
Les “progrès” technologiques et les innovations bouleversent notre quotidien, modifient nos valeurs (éthique et innovations), nos comportements (génération numérique) et conduisent la majorité à se retrouver coincée entre différents paradoxes. Un rythme de travail accéléré et une aspiration à la lenteur, des contraintes professionnelles toujours plus accrues pour raisons de performance et de compétitivité, augmentant stress et mal-être, et du coup une explosion du besoin de bien-être et de bonheur au travail comme dans la vie privée.
Internet nous conduit à surfer et les réseaux sociaux rendant les informations obsolètes en quelques secondes, nous zappons et nous ne savons plus fouiller, chercher, analyser, documenter les connaissances et les informations, car cela prend trop de temps ! Nous vivons dans une opulence générale jamais égalée, une minorité de la population mondiale est devenue ultra riche, laissant une majorité en augmentation constante de personnes s’appauvrissant et les classes moyennes occidentales s’amenuisent économiquement, tandis qu’elles apparaissent et s’enrichissent dans les pays émergents.
La majorité de nos repères et des composantes de notre réalité sont soumis à la schize : inflation des informations et abêtissements des foules, rapidité technologique et besoin psychologique de ralentir, opulence de biens de consommation et augmentation de la pauvreté, surconsommation et surproduction de biens et de pollutions et raréfaction des ressources et des matières premières, crises à répétition et enrichissement des banques à l’origine des bulles et crashs financiers… Alors il n’est guère surprenant que les personnes se trouvent psychologiquement coupées en deux, entre un monde déclinant et qui pour le moment est toujours dominant (modèle moderne et libéral dérégulé), et un monde émergent d’alternative en tous genres.
Le monde du free avec le wiki, conduisant au partage gratuit des connaissances, le développement des monnaies alternatives, comme moyen de compenser la crise, développant à nouveau solidarités et coopérations dans un monde individualiste, émergences d’initiatives politiques hors establishments, imprimante 3D révolutionnant l’industrie classique. Dans tous les domaines, les innovations sociétales surgissent, modifient nos représentations de la réalité, nos comportements et nous conduisent très souvent à faire le grand écart entre convictions et évolutions, habitudes et exigence de changement permanent.
Ce qui crée une pression psychologique très forte sur les individus qui n’est pas toujours facile à assumer. Ce qui conduit alors à tout type de crises psychologiques, du déclenchement parfois de réelles schizophrénies, aux symptômes borderline, à des replis, des dépressions, des burn-out invitant les personnes à revisiter leurs repères et à décider, pour beaucoup à sortir du système. Mais est-ce la solution ? Si tous ceux qui prennent conscience des paradoxes d’une situation en sortent alors qui reste-t-il à l’intérieur ? Et qui peut faciliter le délicat passage d’un monde à un autre ?
Gageons qu’à la suite d’une étape sociale de schizophrénie, propre à un moment de recomposition de notre société, nous sachions aussi bien individuellement que collectivement retrouver les voies de l’unité. Ce qui semble s’observer avec le développement massif des méthodes de mindfullness (techniques permettant de développer sa présence dans l’instant, plutôt que les regrets du passé ou le futur rêvé) dans tous les domaines de la vie, personnel et professionnel. La présence à l’instant semble être la ressource pour à la fois retrouver l’unité, faire émerger de nouvelles options sociétales, notamment avec l’Intelligence coopérative et permettre de coconstruire un futur durable pour tous les règnes du vivant.
CONSEQUENCES EN TERMES DE MODELE PEDAGOGIQUE . J’inviterai les adolescents à :
- apprendre à développer l’esprit critique (quelque part les leçons de l’esprit talmudique : questionner, ne pas prendre les choses comme acquises, comprendre à quelle logique systémique cela correspond..),
- chercher à devenir des Hommes et des Femmes Debout = des êtres libres, sachant opérer un tri sélectif des acquis transmis par toutes les traditions ( spirituelles et autres) pour parvenir à se forger une identité singulière, construite en conscience et dont ils pourront être fiers,
- observer les paradoxes et chercher à trouver une voie tierce (non partisane), exemple dans l’article : vitesse des informations partagées surcharge et besoin de lenteur… notre futur se situe au carrefour réussi des extrêmes qui se repoussent
- développer le niveau de conscience de chacun pour devenir un adulte respecteux de tous les règnes du vivant.. alors à l’écoute de l’école du vivant (qui a su être pérenne depuis presque 4 milliards d’années sur Terre) nous aurons des clés de solutions (type biomimétisme) et sagesse dans nos choix et décisions..
“La valeur n’attend pas le nombre des années” dit l’adage, la question qui reste ouverte est celle des critères de cette valeur… Elle est à co-définir, à co-construire et co-développer…
Intermède : Le bon chef ne fait pas son chef, François Bégaudeau
Le Monde.fr | 27.06.2014 à 11h24 • Mis à jour le 28.06.2014 à 14h49, extraits
Qu’est-ce qu’un bon meneur de jeu ? Celui qui fait jouer les autres. Celui qui donne du talent à ses partenaires – qui actualise leur puissance, aurait dit Spinoza, grand supporteur de l’Ajax.
Tout le monde ne serait pas forcément d’accord pour dire qu’Iniesta fut le meneur de jeu de la grande Roja aujourd’hui déchue. C’est bon signe. C’est la preuve que l’homme fit jouer plus qu’il ne joua, qu’il se fondit dans le onze espagnol pour, de l’intérieur, l’irriguer de son génie. Que son ego se satisfit de créer une beauté sans ego, une beauté des égaux.
100 leçons de vie à travers le prisme de l’efficacité (TED)
http://www.lifehack.org/articles/productivity/100-incredible-things-learned-watching-70-hours-ted-talks-last-week.html November 2013 5 by Chris Bailey in Productivity |
Title : You Can Easily Learn 100 TED Talks Lessons In 5 Minutes Which Most People Need 70 Hours For
The other week I watched 70 hours of TED talks; short, 18-minute talks given by inspirational leaders in the fields of Technology,Entertainment, and Design (TED). I watched 296 talks in total, and I recently went through the list of what I watched, weeded out the crappy and boring talks, and created a list of the 100 best things I learned !
This article isn’t entirely about productivity, but I guarantee you’ll learn a thing or two. Here are 100 incredible things I learned watching 70 hours of TED talks last week!
Productivity
- Studies have shown that what motivates a person the most (in non-factory-type work) ishow much autonomy, mastery, and purpose they have, not how much money they make.
- Playing video gamescan actually make you more productivebecause video games give you more physical, mental, emotional, and social resilience.
- A lot of people aspire to be productive so they can become happier, but happiness has been shown to lead to productivity, not the other way around.
- You don’t have as much attention to give to the world around you as you think.You can’t recall memories while processing new data, you can only process so much information at once, and your attention is easily manipulated (like by magicians).
- Innovative thinking is often a slow and gradual process, not a moment of instant, lightbulb-like inspiration.
- If you want people to remember you, sweat the small stuff.Most companies (and people) do the big stuff right, so sweating the small stuff (like getting the user interfaces on your products right) can really set you apart.
- You have three brain systems for love: lust, romantic love, and attachment. To develop more intimate relationships with your significant other, it’s important to invest in all three.
- When youcreate an environment for your employees that makes them truly happy(instead of just rich), more profits may follow.
- Your office is actually a pretty crappy environment to get work done.In fact, when Jason Fried asked folks where their favorite place to get work done was, almost no one said “in the office”.
- Taking time off can make you a lot more productive, because time away from your work lets you explore, reflect, and come up with better ideas.
- Success isn’t a destination, it’s a continuous journey that’s made up of eight parts: passion, hard work, focus, pushing yourself and others, having great ideas, making constant improvements, serving others, and persistence.
The Eight Archetypes of Leadership
The strategist: leadership as a game of chess. These people are good at dealing with developments in the organization’s environment. They provide vision, strategic direction and outside-the-box thinking to create new organizational forms and generate future growth.
The change-catalyst: leadership as a turnaround activity. These executives love messy situations. They are masters at re-engineering and creating new organizational ‘‘blueprints.’’
The transactor: leadership as deal making. These executives are great dealmakers. Skilled at identifying and tackling new opportunities, they thrive on negotiations.
The builder: leadership as an entrepreneurial activity. These executives dream of creating something and have the talent and determination to make their dream come true.
The innovator: leadership as creative idea generation. These people are focused on the new. They possess a great capacity to solve extremely difficult problems.
The processor: leadership as an exercise in efficiency. These executives like organizations to be smoothly running, well-oiled machines. They are very effective at setting up the structures and systems needed to support an organization’s objectives.
The coach: leadership as a form of people development. These executives know how to get the best out of people, thus creating high performance cultures.
The communicator: leadership as stage management. These executives are great influencers, and have a considerable impact on their surroundings.