Intermède : Digressions d’un diner shabbatique et confiance en soi

Donc hier le sujet qui a été “plaie-biscité” c’était la cohérence entre nos idées de vie et notre vie, notre vie et nos valeurs, et par ricochets : définition du bonheur, du long terme, des objectifs de vie, de la différence entre valeurs et choix de vie, valeurs profondes et injonctions parentales. Quelques heures passées avec bonheur à refaire le monde. Une des conclusions de tout ce débat-raffut a été de noter la prépondérance sidérante au sein de la discussion de ce que l’on appelle la confiance en soi. Sans cette capacité à assumer ses choix on se retrouve piégé dans les choix de nos parents ou à faire exactement le contraire de ce qu’ils voulaient. Mais la contre-reaction (l’opposition par principe) n’est pas plus un choix, donc ca revient au même, tu me suis ?