Category Archives: L’entreprise en ébullition

At POC21 We Will Build The Most Functional And Replicable Cell Of A Truly Sustainable Society

http://www.poc21.cc/

OPEN SOURCING SUSTAINABILITY

12 projects. 50 participants. World-class mentors. Hundreds of supporters. 1 Goal: Open Sourcing Sustainability! A 5 Week-Camp of CO-MAKING & CO-LIVING

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Massive Diffusion : Imagine an appealing, mainstream catalogue as ubiquitous as IKEA’s, showcasing an open source sustainable lifestyle. That is our plan.

Screen Shot 2016-04-09 at 9.20.39 AMBetween POC21 and COP21, and beyond, we will roll out a massive communication plan toward mainstream media, policymakers, investors and academia, to spread the word about huge potential of open source projects to tackle sustainability and climate crises.

The Unit : How the “just do it” generation leads to unlimited intelligence

http://www.forbes.com/2007/02/07/israel-military-unit-ventures-biz-cx_gk_0208israel.html Forbes, Gil Kerbs, 2 aout 2007

Extracts :

Tal offered to compare engineering teams in the U.S. and Israel: “In the U.S., they have several times more budget and manpower. The average engineer there is much older, with many years of experience and lots of advanced degrees. Theoretically, it sounds like we have no chance to compete and be relevant. How can a bunch of children with no degree and several soldier-students with a degree but no experience succeed in accomplishing anything?

“Turns out we are successful. Flexible thinking is our advantage. For some positions, there’s a huge advantage to 18-year-old children who think they know everything–or, more precisely, who have been told time and again that no mission is too difficult for them. Take 10 of the smartest academics and they won’t be able to do half the work my team does.

”Unit members are taught that there’s no such thing as “impossible,” while “no” is something temporary that can change by persistence and insistence, even if it’s the Unit commander himself who said “no.”

Garance, Une Lettre de Motivation à coeur ouvert !

“Après deux ans à m’instruire au coeur de la Vie, voyage en Australie, au Sri Lanka, aux îles Canaries, à l’Ecole de Biodanza de Bourgogne, assistante au centre Iris de formation à la Créativité, Ecole de Massage Bien-être, formation de Divemaster en plongée sous-marine, découvertes et cheminement intérieur profond, j’ai décidé de venir me nourrir le corps et l’âme en France, de venir y poser des bases sécures pour moi et ma vie future Screen Shot 2016-04-09 at 9.25.08 AM

Je cherche du travail de préférence hors de Paris à partir de septembre 2015, sous la forme d’un CDI. J’adorerais être entourée de personnes connectées à leur Cœur, j’adorerais continuer à apprendre et mettre mon dynamisme et ma Joie au service de jolies choses ! Je me sens très polyvalente et suis pleine de vitalité et de créativité, capable de fédérer, soutenir, accompagner, organiser et mobiliser les énergies disponibles !
À vous, et à chacun qui me lira et souhaitera partager, me faciliter, me guider, m’encourager ou m’employer, gratitude et douceur infinie !”

Garance, 22 ans.
   garance.abc@gmail.com

L’entrepreneuriat en mode Collectif

http://www.cae-clara.fr/ CLARA Coopérative Culturelle

Screen Shot 2016-04-09 at 9.27.19 AMEntreprendre en collectif, c’est aussi s’impliquer dans une entreprise partagée entre salariés : En devenant salarié d’une CAE SCOP-SARL chacun peut s’impliquer dans le développement de son activité mais aussi dans l’entreprise collective en devenant sociétaire (participant à renforcer les orientations de l’entreprise et son projet de politique globale).Les sociétaires sont représentés équitablement (une personne une voix) et ont la qualité d’entrepreneur-salarié-sociétaire.

Il est impossible de concevoir le futur ?

Le top 5 des objets connectés insolites, publication WIDOOBIZ, textes et photos.

http://www.widoobiz.com/a-la-une/le-top-5-des-objets-connectes-insolites/61312?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter+quotidienne

L’imagination des Hommes n’a décidément pas de limite. En voici encore la preuve avec ces objets connectés, plus insolites les uns que les autres, des exemples pris parmi des milliers de nouveautés:

  • Le support visuel pour suivre une réunion
  • La Boite à cookies qui s’ouvre en fonction des objectifs accomplis
  • Les toilettes connectées (les toilettes du futur pourront même dire si vous êtes enceinte)
  • La banane qui affiche votre rythme cardiaque
  • La fontaine qui vous permet de jouer à Snake

Projet de l’Université du Bonheur au Travail

http://us2.campaign-archive2.com/?u=d2688f170adb201fdd93f5bf4&id=850c460a28 Projet d’Université du Bonheur au Travail, 29, 30 et 31 Octobre 2015, locaux de l’Inseec (Paris)

Nombreuses sont les organisations, privées ou publiques, qui l’ont compris, et cherchent à favoriser le bonheur au travail comme un bien en soi pour les individus qui les composent. Certaines se sont emparées de cet objectif pour transformer leurs pratiques ; d’autres hésitent à s’engager dans cette voie de performance à long terme ou manquent de solutions adaptées à leur organisation ou au contexte économique.

Pourtant des solutions existent, et c’est ce que nous proposons de découvrir lors de cette formation expérientielle : 3 jours pendant lesquels toute personne curieuse ou désireuse de trouver des solutions pour transformer son quotidien professionnel ou celui de ses collaborateurs, pourra venir vivre des pratiques et outils en faveur du bonheur au travail, s’enrichir et partager avec des praticiens et des pairs, entrer dans un mouvement et devenir eux-mêmes acteurs du Bonheur au travail.

Bill Gates et les choses que l’école n’apprend pas

Bill Gates a récemment prononcé un discours dans une école secondaire à propos de 10 choses que l’école n’apprend pas mais qu’il faut néanmoins apprendre le plus rapidement possible ! Vous pouvez ne pas l’aimer. Mais sachez que, lui, a certainement appliqué les règles qu’il préconise !.. Il parle de bons sentiments et d’enseignements politiquement corrects qui ont créé des générations de jeunes totalement dépourvus du moindre sens des réalités de la vie. Tout en expliquant comment ce “concept” les prédispose à l’échec dans le monde réel, il donne ici dix règles à suivre. A faire lire à certains ados “révoltés”. Et à d’autres…

Règle 1 : La vie est injuste : habituez vous!

Règle 2 : Le monde se fout de votre amour-propre.Le monde s’attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.

Règle 3 : Vous ne gagnerez pas $60,000 par an en sortant de l’école. Vous ne serez pas vice-président en commençant, avec GSM et voiture de fonction fournis, avant d’avoir mérité, gagné ces privilèges.

Règle 4 : Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d’avoir un patron.

Règle 5 : Travailler dans une friterie n’est pas s’abaisser. Vos grands-parents avaient un mot différent pour ça : ils l’appelaient une opportunité.

Règle 6 : Si vous gaffez, CE N’EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.

Règle 7 : Avant que vous naissiez, vos parents n’étaient pas aussi ennuyants qu’ils le sont maintenant !Ils sont devenus comme ça :

  • En payant vos factures,
  • En nettoyant vos vêtements
  • Et en vous entendant répéter sans arrêt combien vous êtes bons et cools.

Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans votre propre chambre et tout ce qui s’y trouve

Règle 8 : Votre école s’est peut-être débarrassé du système « gagnant-perdant », PAS LA VIE ! Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse. Ceci n’existe pas dans la vraie vie !

Règle 9 : La vie n’est pas divisée en semestres. L’été n’est pas une période de congé. Et très peu d’employeurs sont disposés à vous aider à VOUS ASSUMER, c’est votre responsabilité.

Règle 10 : La télévision n’est pas la «vraie vie». Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.

Si vous êtes d’accord, faites circuler, sinon, mettez-vous la tête dans le sable et prenez une grande respiration.”Bill Gates

Sociocratie comme vecteur d’intelligence collective

RESUME :

Gouverner Ensemble, exemple : Expérimenter la prise de décision, méthodologie:

  • Rappel Bienveillance
  • Présentation de la proposition
  • Clarification
  • Réactions
    • Ce que vous aimez
    • Ce que vous n’aimez pas
    • Ce vous souhaiteriez ajouter ou transformer
  • => Amendements (on transforme la proposition)
  • Objections
  • => Amendements (on transforme la proposition)
  • Consentement = 0 objections

Concepts clés:

  • Cadre qui permet a chacun de s’exprimer (on ne parle pas sur la parole de l’autre)
  • On prend le temps d’intégrer les réactions des autres
  • On construit ensemble quelque chose qui s’enrichit
  • Rôle important du facilitateur qui s’interdit de prendre le pouvoir
  • Il y a un porteur de proposition ce qui permet de démarrer par quelque chose de concret

Pierre Tavernier, http://www.atconseil.com consultant et formateur, président du Centre Français de SociocratieUn mode de gouvernance authentiquement participatif, éthique et performant, article:

Un peu d’histoire :

oLe mot « sociocratie » a été inventé par Auguste Comte, philosophe français du début du XIXème  siècle que l’on considère comme le père de la sociologie. Ce terme signifie littéralement le gouvernement des associés, c’est-à-dire d’un ensemble de personnes qui partagent une vision, une mission, des règles de fonctionnement et des objectifs qu’ils souhaitent réaliser ensemble.

oKees Boeke (1884 – 1966), psychosociologue et pédagogue Hollandais reprit le terme« sociocratie » pour décrire un mode d’organisation avec 3 règles qu’il expérimenta au sein de la Werkplaats Community School en Hollande:

  • les intérêts de tous les membres sont pris en considération, chacun acceptant de se soumettre aux intérêts de la communauté.
  • une solution n’est adoptée que si elle est acceptée par ceux qui vont la mettre en œuvre.
  • tous les membres sont prêts à agir conformément aux décisions prises unanimement.

Gerard Endenburg fut l’un des élèves de cette école. Devenu ingénieur en électromécanique, il hérita de la direction de l’entreprise familiale au début des années 70 et il voulut y recréer la même qualité de participation qu’il avait expérimentée au sein de la Werkplaats Community School. Mais dans une entreprise, les règles formulées par Kees Boeke n’étaient pas utilisables en l’état. Gerard Endenburg devait prendre en compte les intérêts de toutes les parties prenantes, investisseurs compris, et garantir l’atteinte des objectifs de l’entreprise sans dépendre de la seule bonne volonté des employés pour prendre des décisions unanimes.Il s’inspira du fonctionnement des organismes vivants ou des systèmes cybernétiques et conclut que pour rendre son entreprise capable de s’auto-organiser et permettre à tous les membres d’y prendre toute leur part, il lui fallait organiser l’équivalence entre eux.

L’équivalence, c’est l’affirmation que tous sont sujets et non pas objets du projet commun et que la contribution de chacun est nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise collective. L’équivalence, c’est le droit reconnu à chacun de consentir ou non à une décision qui modifie de façon significative et durable les orientations, les modalités de son travail ou du travail de son équipe, voire de toute l’entreprise.

Endenburg devait également prendre en compte que dans un système dynamique, ou un organisme vivant, 3 fonctions coopèrent dans l’équivalence : une fonction d’orientation qui fixe un objectif, une fonction d’exécution qui vise à réaliser l’objectif, une fonction de mesure qui évalue l’écart entre l’objectif et sa réalisation.

Actualité de la sociocratie :

  • La sociocratie, que les Américains préfèrent appeler « Gouvernance dynamique », est pratiquée aux Pays-Bas depuis plus de 40 dans des organisations variées : entreprises industrielles ou commerciales, associations, écoles, administrations. Des évaluations formelles ont démontré que ces organisations connaissent un fort accroissement au niveau de l’innovation et de la productivité, une réduction du nombre de réunions, une réduction du taux d’absentéisme pour maladie et une implication accrue de tous les membres.
  • En France, la sociocratie est encore largement méconnue, mais elle fait son chemin et c’est le monde associatif qui s’en est emparé le premier. Des associations, grandes et petites, des groupes d’habitats groupés, revendiquent un fonctionnement sociocratique et utilisent la méthode avec profit. Des collectivités et de petites entreprises s’y intéressent également.

En pratique :

  • Pour installer l’équivalence des personnes et des 3 fonctions dans son entreprise, Gerard Endenburg a jugé que la structure pyramidale classique était adéquate pour « exécuter », mais inadéquate pour « orienter ». Pour prendre les décisions d’orientation – qui concernent les objectifs, les processus de travail, les règles de fonctionnement – il fallait une structure spécifique pour que ces décisions puissent être prises, à leur niveau, par ceux qu’elles concernent. Il a progressivement formulé et expérimenté 4 règles : le cercle, le consentement, le double lien et l’élection sociocratique.

Les 4 règles de base de la sociocratie :

  1. Le cercle :

La structure de prise de décision est constituée de cercles semi-autonomes inter-reliés. Chaque cercle est formé par un groupe de personnes qui partagent une mission commune. Par exemple un conseil d’administration, une équipe de direction, un service…. Chaque cercle poursuit un but clairement identifié, articulé avec le but des cercles auxquels il est relié, et il organise son fonctionnement comme sous-système de l’organisation. Il est responsable de l’ingénierie de ses processus de travail, qu’il doit définir en termes d’objectifs, d’activités et de mesure des résultats Un cercle établit ses propres politiques sur la base du consentement de ses membres. Il élabore son propre système d’information et d’éducation permanente par la recherche expérimentale, l’enseignement formel et l’apprentissage sur le tas.

  1. Le consentement

Le mode de prise de décisions d’une organisation sociocratique est le consentement. Le consentement signifie : il n’existe plus d’objection motivée. Dans un cercle sociocratique, aucune décision d’orientation ne sera prise si un des membres y oppose une objection raisonnable et argumentée. Cette règle favorise l’impossibilité pour quiconque dans le cercle de devoir abandonner sa liberté et sa responsabilité entre les mains d’un autre. Elle permet aussi, dans le dialogue et la confrontation si besoin, d’apprendre à relativiser ses préférences et à découvrir la puissance de l’intelligence collective. Elle invite enfin à redéfinir ce qu’estune bonne décision : une décision est bonne si elle permet d’avancer dans la réalisation des objectifs communs et si elle reçoit le consentement de ceux qui vont avoir à « vivre avec ».

  1. Le double lien

Un cercle est relié au cercle qui lui est immédiatement supérieur par un double lien. Cela signifie qu’au moins deux personnes, le responsable de l’unité de travail et un membre de son équipe choisi par l’équipe, sont membres du cercle immédiatement supérieur.

  1. L’élection sociocratique

Le choix et l’affectation des personnes dans une fonction ou la délégation d’une tâche se fait dans le cercle concerné. Après avoir défini ensemble les qualités requises pour le poste, chaque membre du cercle désigne qui lui paraît à même de remplir la mission et argumente son choix. Après une discussion ouverte dans le cercle, la décision est prise par tous sur la base du consentement.

Exemple :

  • Dans une association fonctionnant sur le mode sociocratique de gouvernance qui a un conseil d’administration composé d’administrateurs élus, une équipe de salariés dépendant tous directement d’une directrice, le cercle supérieur de l’association est composé des membres du Conseil d’administration, de la directrice, et d’un autre membre de l’équipe salarié choisie selon le processus de l’élection sans candidat par l’équipe salariée (directrice comprise) réunie en cercle.
  • Le cercle supérieur est garant de l’existence d’un projet associatif actualisé. Dans ce dernier, les décisions sont prises par consentement. Tous les membres, administrateurs élus, directrice, double-lien salarié ont le même pouvoir de décision par consentement dans les réunions du cercle. Le conseil d’administration n’intervient pas dans le fonctionnement du cercle des salariés, chargé de la mise en œuvre du projet associatif, sauf si ce cercle se trouve confronté à un problème qu’il ne parvient pas à résoudre. Il en appelle alors au cercle supérieur.

En conclusion :

La sociocratie m’a apporté des outils simples et performants pour aider les organisations que j’accompagne comme consultant à articuler harmonieusement un bien commun clairement explicité avec les besoins de chacun de leurs membres et à favoriser le déploiement de l’intelligence collective. C’est un mode de gouvernance authentiquement participatif qui valorise la contribution et la responsabilité de chacun, renforce l’esprit d’équipe et favorise l’émergence d’un leadership partagé. C’est une proposition unique pour organiser et réguler, au grand jour, toutes les relations de pouvoir de façon à maximiser « le pouvoir de » chacun sans que personne ne puisse accaparer « un pouvoir sur » les autres. La sociocratie, c’est le pouvoir du nous.

Collective Awareness Platforms for Sustainability and Social Innovation

http://ec.europa.eu/digital-agenda/en/collectiveawareness (Digital Agenda For Europe)

Collective Awareness Platforms, or how to use networks to connect citizens and ideas for social innovation, leveraging on collective intelligence and action to address sustainability challenges.

The Collective Awareness Platforms for Sustainability and Social Innovation (CAPS) are ICT systems leveraging the emerging “network effect” by combining:

  • open online social media,
  • distributed knowledge creation, and
  • data from real environments (“Internet of Things”).

The objective is to create awareness of problems and possible solutions requesting collective efforts, enabling new forms of social innovation. The Collective Awareness Platforms are expected to support environmentally aware, grassroots processes and practices to share knowledge, to achieve changes in lifestyle, production and consumption patterns, and to set up more participatory democratic processes. Although there is consensus about the global span of the sustainability problems that are affecting our current society, including the economic models and the environment, there is little awareness of the role that each and every one of us can play to ease such problems.